L’EIL Côte d’Opale est une école publique interne à l’Université du Littoral Côte d’Opale (ULCO). Elle est présente sur quatre campus Calais, Saint-Omer, Boulogne-sur-Mer et Dunkerque et forme des spécialistes du Génie Industriel, de l’Informatique, du Génie Energétique et Environnement et de l’agroalimentaire.

L’EIL Côte d’Opale en chiffres :

  • 700 élèves
  • 50 % des élèves de 3ème année en alternance
  • 1600 anciens élèves
  • 50 partenariats internationaux
  • 40 % des diplômés sont des ingénieures
  • 202 mobilités entrantes et sortantes en 2022
  • 37 400 € de salaire moyen par an
  • 92 % des diplômés en activité ont trouvé leur emploi avant 6 mois
  • 4 spécialités pour 4 diplômes habilités par la CTI en formation initiale sous statut étudiant et en formation continue

L’Ecole est rattachée au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et à l’Université du Littoral Côte d’Opale (ULCO).

FORMATIONS & ADMISSIONS

La mission principale de l’EIL Côte d’Opale est de fournir au tissu économique national et international des ingénieurs hautement formés dont il a et aura besoin. L’école propose une formation en 5 ans après un bac général avec spécialités scientifiques ou bacs technologiques, STI2D, STL, STAV ou en 3 ans, après une classe préparatoire scientifique, un BUT, un BTS ou une licence.

Différentes voies d’accès au diplôme :

  • Formation initiale sous statut d’étudiant
  • Formation par apprentissage
  • Formation par alternance en contrat de professionnalisation
  • Formation continue
  • Validation des acquis de l’expérience

PROGRAMME & SPECIFICITES

Un cycle préparatoire intégré en 2 ans sur 2 villes (Calais et Dunkerque) avec 2 parcours :

– 1 parcours : « Informatique, Génie Industriel, Génie Énergétique et Environnement »

– 1 parcours : »Agroalimentaire »

Nouveauté 2024 : 1 parcours « Informatique, Génie Industriel, Génie Énergétique et Environnement » à Dunkerque

Un cycle ingénieur en Informatique en 3 ans à Calais. Coloration spécifique en dernière année en choisissant une des mineures suivantes : ingénierie logicielle et data science, ingénierie informatique et perception ou intelligence artificielle.

Un cycle ingénieur en Génie Industriel en 3 ans à Saint-Omer. Coloration spécifique en dernière année en choisissant une des mineures suivantes : ingénierie de production, ingénierie numérique pour l’industrie ou écologie industrielle.

Un cycle ingénieur en Génie Énergétique et Environnement en 3 ans à Dunkerque. Coloration spécifique en dernière année en choisissant une des mineures suivantes : énergie et environnement en milieu littoral, transition énergétique et numérique ou décarbonation.

Un cycle ingénieur en Agroalimentaire en 3 ans à Boulogne-sur-Mer. Coloration spécifique en dernière année en choisissant une des mineures suivantes : sécurité sanitaire des produits aquatiques ou valorisation des produits alimentaires.

Double diplomation. L’Ecole permet à ses étudiants de 3ème année en cycle ingénieur de préparer, en parallèle de leur cursus, 1 Master en double diplôme : « Ingénierie des Systèmes complexes ».

La formation par alternance : contrat de professionnalisation. L’élève ingénieur en dernière année de cycle ingénieur a la possibilité de renforcer son expérience professionnelle et d’être rémunéré dans le cadre des contrats de professionnalisation proposés par de nombreuses entreprises.

Nouveauté 2023 : L’école propose une formation en apprentissage pour ses 4 spécialités en cycle ingénieur. La 1ère année est commune aux 2 voies de formation sous statut d’étudiant et sous statut d’étudiant puis d’apprenti. En 2ème et 3ème année, les apprentis suivent 34 semaines de formation au sein de l’école et 70 semaines en entreprise.

RAYONNEMENT A L’INTERNATIONAL

Les élèves en 2ème et 3ème année de cycle ingénieur ont la possibilité d’effectuer un semestre d’études et/ou un semestre de stage ou encore un double diplôme avec des universités, des institutions ou encore des centres de recherche basés à l’étranger, dans le cadre de la mobilité entrante, sortante, et du dispositif Erasmus+ : Suède, Pologne, Norvège, Finlande, Espagne, Belgique, Roumanie, Canada, Maroc, Australie, Vietnam, Brésil, Japon,…

 

Retrouvez plus d’informations dans les plaquettes de l’Ecole
Visionnez la présentation de l’Ecole par thématiques

Elax Energie est concepteur et installateur d’installation technique chauffage, ventilation et plomberie pour le bâtiment et d’objets connectés permettant la gestion active de la consommation d’énergie en temps réel. L’accent est mis sur l’efficacité et le rendement des systèmes au travers de compétences spécifiques dans la régulation et l’intégration des énergies renouvelables.

Aujourd’hui l’activité d’Elax Energie porte sur le déploiement d’une solution pour la modernisation des chauffe-eaux électriques existants. Dans ce contexte, des partenariats avec des acteurs de la ville Saint Louis du Sénégal ont été noués, notamment avec des hôtels et l’université.

Découvrez la nouvelle génération des batteries Post-lithium !

Fondée fin 2019 en Hauts-de-France, HIVE ELECTRIC S.A.S est spécialisée dans la recherche, développement et l’industrialisation des systèmes de stockage d’énergie.

La société Hive Electric développe une nouvelle génération post-lithium des batteries, métal-ion depuis plusieurs années et travaille actuellement sur le scale-up à l’échelle prototypes et démonstrateurs pour des secteurs visés (Bornes de recharge EnR ou encore véhicules électriques).

Plusieurs collaborations académiques et industrielles sont en cours pour la réalisation des démonstrateurs ainsi que le développement des nouvelles générations des batteries Hive.

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Pour en savoir plus sur Hive Electric

L’ESME Sudria forme des ingénieurs pluridisciplinaires prêts à relever les défis du XXIe siècle : la transition énergétique, les villes connectées, la cyber sécurité, les biotechnologies…

L’ESME Sudria, est une formation qui prône l’ouverture et s’appuie sur une approche systémique et transversale des projets. Les étudiants de l’ESME Sudria acquièrent un socle commun en sciences et technologies de l’innovation, mais aussi en sciences humaines et managériales avant de se spécialiser dans un des seize domaines d’expertise de l’école. C’est ce qui en fait une formation plus que jamais adaptée aux besoins des entreprises et de la société.

La recherche est une mission primordiale qui trouve toute sa place à l’ESME Sudria car elle permet d’une part, de faire évoluer la formation et d’autre part de faire acquérir aux étudiants des compétences spécifiques par la maîtrise des outils et de la démarche scientifique inhérente aux activités de recherche. La Recherche peut constituer le premier maillon de la chaîne de l’innovation et l’ingénieur initié à cette activité sera capable de transformer les résultats obtenus en applications industrielles.

La stratégie de recherche est établie de manière à assurer la cohérence et la continuité des activités de recherche et de formation, tout en prenant en compte les aspects sociétaux et territoriaux.

Les activités de l’équipe de l’ESME Research Lab sont structurées autour de 3 grandes thématiques

  • MMA : Mathématiques et Modélisation Appliquées
  • TEI : Transports Eco-Intelligents
  • SAPA : Santé Aide à la Personne Autonomie

 

Pour en savoir plus sur la recherche à l’ESME Sudria

Regardez la présentation de l’école en vidéo

Chaine youtube de l’école

ELSPEC est un fournisseur à l’international d’analyseurs de qualité de l’énergie électrique, de systèmes de correction du facteur de puissance en temps réel et de solutions d’économie d’énergie.

Gazonor, créée en 1991 pour la gestion et l’exploitation de l’évacuation du gaz de charbon suite aux arrêts des travaux miniers dans les Hauts-de-France, a été acquise définitivement par la Française de l’Energie suite à l’introduction en bourse du groupe en 2016.

Aujourd’hui GAZONOR innove avec son projet de cogénérations délocalisées et transforme le grisou en une ressource énergétique propre de proximité. Un compresseur capte le grisou et l’envoie dans un moteur à gaz qui le transforme en électricité verte et en chaleur.

Par des réponses diversifiées et adaptées au besoin de chacun, EDF soutient les volontés publiques d’améliorer le développement électrique du continent africain en privilégiant les solutions les plus efficaces et les moins émissives en CO2.

Le Groupe a également pour ambition de contribuer au développement des industriels sur le territoire africain via des solutions énergétiques adaptées et des partenariats durables.

Présent depuis 50 ans sur le continent africain, EDF participe à de nombreux projets.

 EDF accompagne ses clients dans leurs projets énergétiques au travers d’une gamme complète de prestations dans tous les types d’énergie (hydraulique, thermique, éolien et solaire, nucléaire, biomasse) et sur toute la chaîne de valeur de l’électricité, de la production jusqu’aux foyers en passant par les réseaux : ingénierie-conseil, management de la construction, assistance technique, gestion déléguée de l’O&M, formation, services énergétiques, etc.

EDF n’est pas seulement investisseur mais également un partenaire stratégique accompagnant l’innovation entrepreneuriale africaine au travers du Concours Pulse Africa et proposant des solutions bas carbone décentralisée.

La délégation EDF en Hauts-de-France est mobilisée dans la dynamique « l’énergie des Hauts-de-France pour l’Afrique » auprès du pôle MEDEE et de la Région Hauts-de-France depuis son lancement en Juin 2017. L’entreprise a ainsi contribué à la réalisation du « Référentiel régional des compétences mobilisables pour des projets d’électrification en Afrique ». Elle a aussi sponsorisé divers évènements de la dynamique en Hauts-de-France, dont le forum de lancement de la démarche, le 12 Octobre 2018 à Lille. A travers son soutien au projet « Du soleil pour une énergie vitale au sahel», la délégation EDF en Hauts-de-France travaille en étroite collaboration avec d’autres entreprises et acteurs académiques des Hauts-de-France et concrétise son engagement pour un impact concret auprès des populations au Niger.

Depuis 2000, le LRCS est une Unité Mixte de Recherche du CNRS et de l’Université de Picardie Jules Verne sur le stockage et la conversion de l’énergie. Au LRCS, 30 scientifiques expérimentés et 40 jeunes chercheurs travaillent sur les batteries d’aujourd’hui et de demain, le photovoltaïque et le stockage de l’hydrogène. Le LRCS est dirigé depuis 2008 par Mathieu MORCRETTE.

Le LRCS héberge, au sein du HUB de l’énergie depuis Février 2017, une équipe de chercheurs, enseignants, ingénieurs, techniciens et administratifs d’une vingtaine de nationalités différentes (36 permanents et 65 non-permanents). Les chercheurs et enseignants-chercheurs du CNRS et de l’UPJV sont des spécialistes de la synthèse des matériaux, de l’électrochimie, de la chimie organique, de la formulation, de la modélisation multiéchelles. Les équipes du LRCS ont accès à de nombreux équipements de pointe en caractérisation (diffraction X, microscopie électronique, spectroscopie/spectrométrie, mesures photophysiques, …) et en prototypage (calandreuse, machine à enduction, bobineuse de batteries 18650…).

L’implication du LRCS dans la recherche partenariale se traduit par le partage de ses équipements et par de nombreuses collaborations notamment via le réseau RS2E qui regroupe 17 laboratoires, 15 industriels et 3 établissements publics pour structurer la recherche française sur les batteries et super-condensateurs.

Laboratoire de recherche fondamentale d’excellence, le LRCS souhaite également faciliter le transfert technologique de la recherche vers l’industrie via l’accueil et l’animation des plateformes de pré-transfert du RS2E (prototypage batteries 18650, sécurité, upscale de la synthèse de matériaux). Le laboratoire travaille donc étroitement avec les industriels (RENAULT, SAFT, EDF, SOLVAY, UMICORE, MERSEN, …).

Créé en 2004 par le regroupement de deux équipes de recherche de Université de Picardie Jules Verne, spécialisées dans l’ingénierie des matériaux et la modélisation des systèmes complexes, le Laboratoire des Technologies Innovantes (LTI) est organisé en quatre thématiques réunies sous deux axes principaux qui interagissent :

  • Axe 1 : Mécanique et Couplage
    • Thème 1 : Matériaux et Efficacité Energétique (MEE)
    • Thème 2 : Modélisation Mécanique et Phénomènes de Transferts (MMPT)
  • Axe 2 : Energies et Systèmes
    • Thème 3 : Systèmes Intelligents (SI)
    • Thème 4 : Energie Electrique et Systèmes Associés (EESA)

Représentant ainsi le domaine des sciences pour I’ ingénieur au sein de l’UPJV et dans la région Picardie, ses équipes sont présentes sur plusieurs sites Amiens, Saint Quentin et Cuffies/Soissons.

Le laboratoire est rattaché à l’École Doctorale en Sciences et Santé de l’UPJV (EDSS).

Composé de plus de  51 permanents dont 41 enseignants-chercheurs et dirigé par le Professeur Hassen Beji, les travaux en cours et les projets de recherche concernent principalement les matériaux nouveaux et l’optimisation énergétique dans les domaines de la construction et des transports.

Créé en 2006, l’Unité de Catalyse et Chimie du Solide (UCCS, UMR 8181) mène des recherches à caractère fondamental et appliqué dans les domaines de l’énergie, de l’environnement et du développement durable. Il est dirigé par Franck DUMEIGNIL, professeur à l’Université de Lille.

Ses activités portent sur la valorisation catalytique de la biomasse, la chimie du végétal, la chimie fine, la formulation, le traitement catalytique des émissions polluantes, les nouveaux carburants, les combustibles et déchets nucléaires, les piles à combustible, les nouveaux matériaux, etc.

Le laboratoire regroupe des personnels et des moyens de l’ENSCL, de l’Université de Lille, de l’Université d’Artois, de l’École Centrale de Lille et du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS).

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Un grand centre de recherche en Micro et Nanotechnologies

IEMN (Institut d’électronique, Microélectronique et Les nanotechnologies) est un laboratoire créé en 1992 par quatre institutions universitaires : Université de Lille, Université de Valenciennes, l’ISEN-Lille et CNRS. Environ 500 personnes y travaillent dans les domaines de l’information et de la communication, de la technologie et de la nanotechnologie. L’IEMN accueille des étudiants de doctorat et de troisième cycle provenant de plus de 30 pays.

L’IEMN regroupe dans une structure unique l’essentiel de la recherche régionale dans un vaste domaine scientifique allant des nanosciences à l’instrumentation.

Faire travailler ensemble des chercheurs ayant des cultures, des démarches et des motivations différentes, construire une continuité de connaissances allant des problèmes fondamentaux aux applications fait aujourd’hui la spécificité de cette structure. Aujourd’hui, près de 500 personnes, dont une centaine de chercheurs internationaux, travaillent ensemble.

Le cœur des activités de l’IEMN est centré sur les micros et nanotechnologies et leurs applications dans les domaines de l’information, la communication, les transports et la santé. Des moyens expérimentaux exceptionnels sont à disposition des chercheurs, en particulier des centrales de technologie et de caractérisation dont les possibilités et les performances se situent au meilleur niveau européen. L’IEMN fait partie du réseau des grandes centrales de technologie RENATECH.

La politique scientifique de l’IEMN consiste non seulement à l’approfondissement des connaissances mais également à l’établissement d’un partenariat privilégié avec des industriels leaders sur leurs marchés et au développement d’un partenariat de proximité avec les ETI et PME régionales et les jeunes pousses issues de l’IEMN.

Grâce au dynamisme de son personnel, à ses équipements et à ses multiples collaborations avec les milieux académiques et industriels, l’IEMN possède l’ensemble des atouts pour jouer un rôle majeur dans le domaine des micro et nanotechnologies et de leurs applications. L’institut est notamment l’un des partenaires fondateurs de l’Institut de Recherche sur les Composants logiciels et matériels pour l’Information et la Communication Avancée (IRCICA) avec deux autres laboratoires (CRISTAL et PhLAM).

L’IEMN est installé dans différents bâtiments à Villeneuve d’Ascq, Lille et Valenciennes. Le bâtiment du laboratoire central regroupe les principales ressources technologiques et les services communs administratifs. Les antennes situées sur la Faculté des Sciences de Technologie de Lille et sur l’Université Polytechnique des Hauts-de-France ainsi que dans le bâtiment d’YNCREA-ISEN à Lille sont également dédiées aux activités de recherche. Elles maintiennent de surcroît le lien entre la recherche et les formations en master ou en école d’ingénieur. Le laboratoire central de l’institut (LCI), conçu pour être la vitrine de l’IEMN, est un bâtiment moderne de 11 000 m2 constitué de deux salles blanches, de nombreux laboratoires spécialisés et de bureaux.

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La Smart Energy Alliance regroupe 11 pôles français (clusters) impliqués dans les secteurs de l’énergie, du numérique et de la mobilité réunis pour relever les défis de la transition énergétique et la transformation numérique, en s’appuyant sur les retours d’expérience en R&D, des projets et des cas d’usages innovants.

L’Alliance couvre toutes les régions françaises et vise à développer un savoir-faire innovant au niveau européen et à aider les collectivités locales à mettre en œuvre des projets d’énergie intelligente sur leurs territoires.

Afin d’accélérer la mise en œuvre de la transition énergétique et de la transformation numérique dans les territoires, et forts de plus de 8 années de collaboration au sein du collectif Smart Grids France, les pôles français dédiés aux filières Energies Renouvelables, Efficacité Énergétique et Numérique renforcent leur action commune au sein d’une nouvelle alliance stratégique, « Smart Energy Alliance ». Ce collectif vise à répondre aux enjeux clés du développement des énergies renouvelables, de leur intégration dans des réseaux intelligents multi-énergies, de l’efficacité énergétique et de la mobilité dans une vision intégrée du système énergétique durable.


Son ambition est de devenir l’interlocuteur privilégié des politiques d’innovation nationales et régionales, en lien fort avec le Comité Stratégique de Filière (CSF) « Industries des nouveaux systèmes énergétiques », et résolument tournée vers l’Europe.

Constituée de 11 écosystèmes ancrés en régions et couvrant l’ensemble du territoire national, y compris les territoires insulaires et zones non interconnectées, cette alliance nationale réunit les forces industrielles, d’ingénierie et de R&D publiques et privées de ces filières, constituant un secteur dynamique, créateur d’emplois et exportateur. De nombreuses start-ups innovantes, PME, ETI et grands groupes sont engagés pour renforcer la compétitivité de ces différentes filières énergétiques alternatives.

L’Alliance a pour  objectif de « renforcer son action commune pour dynamiser l’emploi, améliorer l’attractivité des territoires et renforcer la capacité d’innovation  française dans les filières telles que les réseaux intelligents multi-énergies, les micro-grids, le stockage d’énergie mobile et stationnaire, la mobilité durable, l’autoconsommation, le gaz renouvelable issu de la biomasse, l’hydrogène vert.
Elle vise en priorité le développement des projets territoriaux et la croissance des  PME implantées sur ces territoires, avec l’objectif de déployer les technologies, produits et savoir-faire à l’international.

L’alliance se compose de trois cercles de compétences, qui peuvent être mobilisés en fonction des thématiques :

  • Les pôles énergie, au cœur des enjeux des systèmes énergétiques optimisés (production, distribution, stockage) et plus globalement de transition énergétique
  • Les pôles numériques apportant l’expertise numérique, l’intelligence artificielle, l’internet des objets, incontournables à la digitalisation en cours et à venir de l’énergie
  • Les pôles applicatifs comme les pôles liés à la mobilité durable

Ensemble, ces pôles regroupent 2200 adhérents, dont 1500 PME. Les 2500 projets labellisés par ces pôles représentent plus de 8 milliards d’euros d’investissement financés à hauteur de 3 milliards d’euros par des financements publics.

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